Valentine et ses écoliers
Le visiteur ou acheteur de Champagne pénètrant dans la cour de la propriété Huvier Morel, qui fait face au Château dans la rue Monfort, découvre une jolie maison haute et colorée, à la façade de brique rouge.
On y lit, gravée dans une plaque de pierre massive, au-dessus de l’entrée : «École libre Sainte-Valentine, 1861-1869».
Sous le Second Empire, tandis que le comte Émilien de Nieuwerkerke était un proche de Napoléon III ainsi que son surintendant des beaux-arts, s’ouvrait à Villiers une école, sans doute née de la bienveillance et de la générosité du comte, témoignage de l’essor de notre village autour de son château et de son propriétaire, qui fut conseiller général du canton.
L’école publique obligatoire n’est pas encore instituée à cette époque, puisque la loi Jules Ferry sera votée en 1884, et la présence d’une école atteste du rayonnement de VSD en tant que bourg rural attractif pour les populations avoisinantes.
On y lit, gravée dans une plaque de pierre massive, au-dessus de l’entrée : «École libre Sainte-Valentine, 1861-1869».
Sous le Second Empire, tandis que le comte Émilien de Nieuwerkerke était un proche de Napoléon III ainsi que son surintendant des beaux-arts, s’ouvrait à Villiers une école, sans doute née de la bienveillance et de la générosité du comte, témoignage de l’essor de notre village autour de son château et de son propriétaire, qui fut conseiller général du canton.
L’école publique obligatoire n’est pas encore instituée à cette époque, puisque la loi Jules Ferry sera votée en 1884, et la présence d’une école atteste du rayonnement de VSD en tant que bourg rural attractif pour les populations avoisinantes.